Cette fonctionnalité est spécialement dédiée aux personnes daltoniennes.
Ici vous pouvez choisir la couleur de vos liens dans les pages afin de les rendre plus visibles.
Statistiques cantonales
Produits
Dossiers thématiques
Conjoncture genevoise
Calculateurs
En 2020, 1 616 mariages ont été célébrés dans le canton. Il s’agit du nombre le plus bas enregistré depuis le début de la statistique, en 1969. Ce niveau s’explique par les restrictions de déplacement et de rassemblement mises en place pour limiter la pandémie de Covid-19. L’effet de la pandémie a été immédiat, puisque, si le nombre de mariages enregistrés en janvier et février était dans la norme, il s’est effondré en mars, puis est resté très bas d’avril à juillet. Le nombre de mariages est ensuite remonté pour s’approcher de la moyenne des dernières années entre octobre et décembre.
Les juges ont prononcé 1 009 divorces en 2020, un nombre en-deçà de la moyenne 2015-2019, qui se fixe à 1 144 divorces. La moitié des couples (50 %) qui divorcent n'ont pas d'enfant (52 % en moyenne de 2015 à 2019).
En 2020, le nombre de naissances est resté élevé (5 153 bébés sont nés de femmes résidant dans le canton), mais inférieur à la moyenne des cinq dernières années (5 394 naissances). Le rapport de masculinité, qui représente le nombre de garçons nés pour 100 filles, s’établit à 110, un nombre particulièrement élevé (105 en moyenne de 2015 à 2019). Parmi les nouveau-nés, 15 ont une mère âgée de moins de 20 ans (29 en moyenne de 2015 à 2019). Cet effectif n’a jamais été aussi bas depuis le début de la statistique, en 1969.
En 2020, 4 249 décès ont été enregistrés (3 350 en moyenne de 2015 à 2019). C’est un record pour le canton de Genève depuis le début de la statistique, en 1979. Le taux brut de mortalité a ainsi nettement augmenté, se fixant à 8,4 pour 1 000 personnes en 2020, contre 6,8 en moyenne au cours de la période 2015-2019. Ces résultats sont liés à la pandémie de Covid-19 qui a particulièrement affecté les personnes âgées de 80 ans ou plus. Deux périodes de surmortalité, liées aux deux vagues de la pandémie, ont marqué l’année 2020 : en mars et avril, puis entre octobre et décembre. A noter que la surmortalité a été plus marquée lors de la deuxième vague.
Abonnements
Pratique
Liens associés
Contact